Modèles plus petits, on les retrouvaient sur les tables de nuit ou directement accrochés aux chandeliers ou bougeoirs.
Une particularité cependant, les ateliers "Royal Worcester" présentent une collection impressionnante de candle snuffer en porcelaine. Ceux-ci représentent les éffigies des familles royales britanniques, des personages de shakespire, des contes de fée, etc...
Vu les prix de ces objets, nous ne nous sommes pas lancés dans cette branche. Nous pensons qu'ils doivent être repris dans une collection typique "Royal Worcester".
Très ancien éteignoir en laiton avec poire en caoutchouc pour raviver ou souffler les flammes de bougies dans les grandes maisons de maître, châteaux, chapelles.....
Il mesure environ 68 cm de long.....dans la partie ronde en forme de petit récipient se trouve le tuyau d'air qui envoie l'air actionné par la poire en extrémité de l'objet....diamètre 10 cm, ouverture 7 cm profondeur 5,3 cm.....
1 mèche d'allumage est fixée sur la tige non loin de l'étouffoir...
La poire en caoutchouc est en bon état, la pression permet encore d'envoyer de l'air...tout fonctionne !!
cet instrument est ancien, il a été certainement fabriqué à la fin du 19° ou tout début des années 1900...
Il
semblerait que ce modèle soit une pièce unique...
Merci à H.G pour l'info
Les "mouchettes" sont de droles de ciseaux prévus pour éteindre un bougie en coupant la mèche tout en emprisonnant la flamme dans le "magasin" destiné à recevoir le bout incandescent. De plus, dans le temps, le mèches n'étaient pas en coton mais en fibres végétales et ne se consummaient pas totalement. En laissant une grande mèche, la chandelle se consummait plus rapidement... (origine de l'expression "économie de bouts de chandelles ? peut-être bien )
La pointe éfilée sert à redresser une mèche prise dans la cire.
Les mouchettes sont des objets d'unre rare beauté, essenciellement issues des plus belles ménagères anglaises. Elles se déclinent en or, argent, vermeil, cuivre, laiton et sont très souvent accompagnées de leur plateau. Certaines pièces d'orfèvrerie peuvent atteindre des millers d'euros.